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la rouille de lucille.

Parlons lumière.

Publié le par Frédéric Leprêtre

Il est coutume de dire que le monde attend son messie comme le moyen de justifier sa suprématie. Et dans chaque communauté d’attendre et de voir des preuves indiscutables mais au final du même acabit. Car malgré les apparences qui seraient en lui des...

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L’expérience doit être acquise tôt.

Publié le par Frédéric Leprêtre

Si haut que vous fussent dans le ciel obscure, Que la nuit vous empêchât de voire au travers des murs. Avant même de naitre, votre impatience et le catalogue vous propulse, Vers un couple, forcément s’aimant, au moins charnellement qu’ils crussent. Si...

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Sciences et Nature.

Publié le par Frédéric Leprêtre

Autrefois on voyait les phénomènes de la nature, Nos yeux étaient habitués à observer aussi les manifestations de l’âme, C’est une fois passées les guerres et la vie trop dure, Et que les démons aient rouillé les forceps pour diviser et créer des trames....

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Client difficile.

Publié le par Frédéric Leprêtre

Lorsque ni le scénario, Ni l’explicite, Ne chantent le crédo, De mon attente empathique. Lorsque ce que je vois, Est en parfaite symbiose avec à ce qui veut être dis, Alors j’avoue que je crois, Que regarder la télé ne m’apparait plus interdit. 17 h 54,...

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Le graal du pauvre.

Publié le par Frédéric Leprêtre

Si ce n'est son propre cœur, Si ce n'est sa guitare ou son morceau de bois, Si ce n'est la pudeur de sa sœur, Si ce n'est l'amour pour son toit, Alors c'est un petit livre, Sa télé, Ses photos en hiver où il a immortalisé le givre, Son combat chez lui...

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L’ostentatoire métaphysique.

Publié le par Frédéric Leprêtre

La foi est quelque chose qui ne se prête pas, Là est la seule règle pour ne point se la faire voler, Le mensonge, même par allusions n’est pas, Un moyen pour quelque fin pour un temps s’approprier. 10 heures 10, « Le Brazza », Vendredi 04 Juillet 2014,...

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Gare de Marseille.

Publié le par Frédéric Leprêtre

Face à la station, garçon, il n'y a pas à prêter attention, Pourtant dans l'auvent je vois tant et tant. Cheval de feu me rappelle, il me manque un cran.

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